Programmation

Dimanche 13 août 2017 - Rencontre

Objectifs de la journée

Comme son intitulé l’indique, cette première journée de l’École d’été se propose comme une série de « rencontres » : rencontres des participantes et participants entre eux, rencontres entre les participantes, les participants et l’équipe de formation, mais aussi rencontre avec la thématique de la commémoration, qui sera au cœur de notre réflexion pendant la semaine de l’École d’été Montréal numérique, et enfin, rencontre avec les outils numériques qui seront exploités.

09h30 > 10h30 Accueil
  • D-R200
10h30 > 11h00 Pause
11h00 > 12h30 Annette Viel
  • Conférence d'ouverture : Du moulin à vent aux moulins à images
    D-R200 – Résumé

Commémorer : se souvenir... Toutes les sociétés, quelles que soient les époques, ont imaginé des lieux, des monuments, des rituels voire de grands événements pour souligner ces faits qui signent l’histoire et structurent les identités. Parfois même, on fuira l’acte commémoratif attendant le moment opportun pour qu’émerge une réconciliation avec ce passé difficile à vivre. Chacune des commémorations épouse son temps, en reflète les valeurs matérialisant des ancrages contemporains. Le recours aux projections multimédiatiques, aux sites Web, aux réseaux sociaux, aux applications intégrées aux téléphones intelligents, bref toutes ces technologies sans cesse innovantes, offrent de nouvelles perspectives. Ceci permet, entre autres, de renouveler les approches traditionnelles laissant davantage place à l’esprit des lieux. En 1605, Cervantès écrivit Don Quichotte. Son héros, El ingenioso hidalgo don Quijote de la Mancha, questionne l’époque médiévale qui le précède annonçant une nouvelle modernité au sein de laquelle les sciences occuperont une place de choix. Don Quichotte se bat pour donner sens à la machine de l'époque : le moulin à vent. Sa finalité : ne pas oublier que derrière la machine, il y a un humain. Du Moulin à vent au Moulin à images : certes quelques siècles mais toujours une même quête de sens. Nous intégrerons à notre exposé divers projets qui questionnent les acquis, interpellent les pratiques et nous invitent au voir autrement.

12h30 > 13h30 Repas
13h30 > 14h30 Léon Robichaud
  • Présentation 1 : L'ancrage spatio-temporel des données historiques : concepts et outils
    D-R200 – Résumé

Le tournant spatial (spatial turn) impose une réflexion sur la nature des données historiques et de leur ancrage dans le temps et dans l’espace.  Cette présentation offrira un survol des concepts liés aux systèmes d’information géographique et des logiciels utilisés.

14h30 > 16h30 Julia Poyet et Léon Robichaud
  • Activité brise-glace
    D-R200
16h30 > 17h00 Cocktail
  • D-R200

Lundi 14 août 2017 - Deux rencontres

Objectifs de la journée

Cette journée est consacrée à la découverte des événements et des sources qui seront analysés au cours de l’école. Des spécialistes présenteront les commémorations de la fondation de Montréal en 1942 et en 1992 afin de mieux comprendre le contexte, les objectifs et les résultats de ces projets. L’après-midi sera le moment de découvrir le corpus de sources qui sera utilisé dans le cadre du cours. Nous terminerons la journée par une initiation aux systèmes d’information géographique fondée sur l’utilisation des données tirées de ces sources.

 09h00 > 10h30 Harold Bérubé
  • Présentation 2 : Montréal 1942: quelques réflexions autour d’une commémoration ratée 
    A-1760 – Résumé

Au milieu des années 1930, en pleine crise économique, les élites politiques et économiques montréalaises lancent les préparatifs pour de fastueuses célébrations à l’occasion du tricentenaire de la fondation de la ville par De Maisonneuve et ses associés. Le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, en septembre 1939, viendra bouleverser considérablement leurs plans et le programme des fêtes de 1942, qui passe en bonne partie sous le contrôle des autorités religieuses, ressemble assez peu à ce que préparait la Commission des fêtes du IIIe centenaire. Dans le cadre de cette conférence, je proposerai, à partir de ce cas bien particulier, une réflexion sur les façons dont les villes célèbrent et commémorent leur propre histoire, et tout particulièrement leur anniversaire de fondation ou d’incorporation en municipalité. Plus spécifiquement, je me pencherai sur la nature et les finalités de la commémoration comme pratique, sur les acteurs qui sont engagés dans la préparation et le déroulement de telles festivités, sur leurs objectifs souvent très prosaïque et, enfin, sur les échos que peuvent avoir de telles célébrations.

10h30 > 11h00 Pause
11h00 > 12h30 Mario Robert
  • Présentation 3 : Montréal fête 350 ans!
    A-1760 – Résumé

Les célébrations du 350e anniversaire de Montréal ont été un des moments forts de la seconde administration du maire Jean Doré et de son parti, le Rassemblement des citoyens et citoyennes de Montréal. Pourtant, les deux années précédant l'événement ne laissaient pas présager un tel succès. Cette présentation a pour objectif de résumer quatre années de préparations et 150 jours de festivités. Nous aborderons ainsi la programmation, les lieux de célébrations, les grands événements et le bilan de ces fêtes.

12h30 > 13h30 Repas
13h30 > 15h00 Joanne Burgess
  • Présentation 4 : Commémorer Montréal, 1942-1992 : le corpus
    A-1760
15h00 > 15h30 Pause
15h30 > 16h30 Labo 1
  • Introduction aux systèmes d'information géographique (SIG)
    A-1890 - Résumé

Les systèmes d’information géographique historiques (SIGH) utilisent certaines fonctions de base des SIG. Ce laboratoire mettra l’accent sur deux de ces fonctions : la géorectification ou calage de cartes matricielles dans un SIG et la création de couches vectorielles (points, lignes, polygones) à partir de ces cartes. Ce genre d’opération étant plus lent sur les plateformes en ligne, nous utiliserons le logiciel QGIS.

Mardi 15 août 2017 - Commémorer 2.0

Objectifs de la journée

Le développement du numérique offre de nouveaux moyens technologiques pour appuyer et mettre en valeur les commémorations. Cette journée a pour objectif de présenter différentes approches récentes utilisées pour préserver et rappeler des événements, des groupes ou des mouvements. Étant donné que des acteurs autres que les gouvernements accordent une importance à la mémoire, la table ronde nous permettra de réfléchir aux enjeux de sélection des contenus mémoriels et du dialogue qui en découle.

La séance de formation sur les affiches permet de s’outiller pour présenter le projet de recherche individuel lors du mini-colloque du samedi. Nous poursuivrons l’exploration des SIG afin de bien comprendre comment les données doivent être préparées en vue d’une analyse et d’une visualisation géospatiale. 

 09h00 > 10h30  Benjamin Deruelle
  • Présentation 5 : Marignan 1515-2015 : entre histoire et mémoire
    A-1760 – Résumé

Le projet Marignan 1515-2015 est né de la collaboration d’universitaires, d’institutions de conservation du patrimoine, du monde du spectacle et des acteurs locaux autour du projet un peu fou de reconstituer une fête de cour de la Renaissance. Histoire politique, Histoire de la mode, histoire de l’alimentation, histoire de la guerre se sont donc retrouvées pour une expérience croisant pratiques commémoratives et scientifiques, recherche et reconstitution historiques, travail académique et vulgarisation. Les approches scientifiques, patrimoniales et médiatiques s’y sont combinées autour de la production, du partage et de la préservation du savoir et du patrimoine. Dès son origine, le numérique, sous de nombreuses formes, a été au cœur de ce projet au point de devenir l’une des conditions de sa réalisation, du soutien au travail de recherche à la médiatisation de ces résultats, en passant par l’articulation des différentes logiques en œuvre. Celle-ci n’est pas sans difficultés tant les logiques politiques, commerciales et académiques sont différentes, et tant l’histoire et la mémoire s’opposent parfois. Cette conférence propose donc une réflexion sur les usages du numérique et la manière dont ils s’ajustent avec les autres éléments du projet, ainsi que sur les apports et les limites d’un travail où s’accommodent histoire, histoire appliquée et histoire vivante.

10h30 > 11h00 Pause
11h00 > 12h30 Joanne Burgess et Léon Robichaud
  • Présentation 6 : Création numérique et commémoration
    A-1760
12h30 > 13h30 Repas
13h30 > 14h00 Julia Poyet
  • Formation affiche
    A-1760
14h00 > 16h30 Labo 2
  • QGIS et les opérations de base en SIGH
    A-1890 – Résumé

Les systèmes d’information géographique historiques (SIGH) utilisent certaines fonctions de base des SIG. Ce laboratoire mettra l’accent sur deux de ces fonctions : la géorectification ou calage de cartes matricielles dans un SIG et la création de couches vectorielles (points, lignes, polygones) à partir de ces cartes. Ce genre d’opération étant plus lent sur les plateformes en ligne, nous utiliserons le logiciel QGIS.

18h00 > 20h00 Ross Higgins, Dimitri Roussopoulos et Ronald Rudin

Mercredi 16 août 2017 - Enjeux de capitales

 09h00 > 10h30  Marie-Ève Ouellet
  • Présentation 7 : Enjeux et apports de la commémoration en contexte d’interprétation. L'expérience du programme Découvrir la capitale nationale
    A-1760 – Résumé

L’interprétation est une rencontre entre un visiteur et un objet, un lieu ou une mémoire. Son objectif premier est de communiquer du sens pour qu’il soit en mesure d’apprécier un espace ou objet patrimonial. Pour reprendre les principes énoncés par Freeman Tilden en 1957, l’objectif de l’interprétation n’est pas d’instruire, mais de provoquer, de susciter une révélation. Le repère commémoratif est un outil privilégié à cet égard, contribuant à créer un dialogue entre le lieu, la communauté et l’individu. Offert par la Commission de la capitale nationale du Québec, le programme de visites guidées éducatives Découvrir la capitale accueille depuis vingt ans des groupes scolaires de partout au Québec. À travers quatre thématiques couvrant l'histoire de Québec depuis ses origines, le programme amène les visiteurs à découvrir les personnages et les événements phares de l’histoire de la capitale, tout en visitant ses lieux emblématiques. De par leur empreinte dans l’espace urbain, les repères commémoratifs (monuments, plaques, toponymie, etc.) s’insèrent naturellement dans le parcours d’interprétation. Si, pour l’historien, les repères commémoratifs sont des objets de connaissance en tant que lieu de mémoire et demandent une distance critique, pour les visiteurs ils sont des sources d’information et d’émotions propices à l’identification. À travers l’expérience du programme Découvrir la capitale, nous verrons comment la commémoration peut servir d’outil pour atteindre l’objectif de l’interprétation.

10h30 > 11h00 Pause
11h00 > 12h30 Alain Roy
  • Présentation 8 : Oublis, dénis ou honnis : enjeux de mémoire de capitales éphémères, Kingston et Montréal (1840-1850)
    A-1760 – Résumé

La communication porte sur les enjeux de mémoire des capitales éphémères de la province du Canada qu’ont été Kingston (1841-1843) et Montréal (1844-1849). En premier lieu, nous définirons notre cadre conceptuel. Il s’agit, d’une part, de définir les convergences et différences entre les concepts de mémoire, d’histoire, de patrimoine et de commémoration. Il nous faut également, d’autre part, préciser comment le concept de capitale s’articule avec son cadre urbain et la communauté de référence (nation, État, etc.). Après un bref retour sur la décennie 1840-1850, et particulièrement sur les enjeux liés au choix de la capitale en lien avec le passage à l’État libéral moderne, nous aborderons comment cette mémoire de capitale s’est manifestée à Kingston, particulièrement sous l’angle de la commémoration et du paysage urbain, puis à Montréal, où le parlement incendié a occupé tout l’espace mémoriel, créant à la fois des vides et des trop-pleins de mémoire …

12h30 > 13h00 Repas
13h00 > 14h00 Danny Perreault et Jonathan Bonneau
  • Présentation éclair 1
    A-1760 – Résumé

Présentation autour de l’encadrement pédagogique du processus de co-création d’Instance, une œuvre d’art numérique publique, présentée dans le cadre de la commémoration du 375e de Montréal. La présentation traitera des enjeux de création, des défis techniques associés à la mise en valeur des lieux ainsi que des exigences et des dynamiques de collaboration avec les partenaires impliqués. Seront abordés également les thématiques de l’immersion, de la surveillance et des méthodes agiles.

14h00 > 16h30 Labo 3
  • Traitement avancé des données
    A-1890 - Résumé

Après un retour sur les compétences acquises lors du laboratoire 2 (couches matricielles et vectorielles), nous verrons comment réaliser certaines opérations plus avancées, telles que la sélection et la jointure, ainsi que la création d’une carte à partir de plusieurs couches.

Jeudi 17 août 2017 - Éducation, enseignement, commémoration

09h00 > 10h00 Marie-Claude Larouche
  • Présentation 9 : Le potentiel du patrimoine urbain pour la formation à l’enseignement de l’univers social
    A-1760 – Résumé

J’exposerai la conception et la mise à l’essai, en formation initiale à l’enseignement primaire à l’UQTR, d’un dispositif didactique exploitant le cadre urbain de Trois-Rivières constituant un patrimoine culturel reconnu d’importance et d’intérêt éducatif certain. En effet, la localisation de Trois-Rivières au carrefour de voies fluviales stratégiques pour le développement du Québec fait en sorte que sont rassemblées, en un périmètre assez restreint, nombre de traces intéressantes au regard des réalités historiques et géographiques nationales qui doivent faire l’objet d’un enseignement au primaire. En tant que formatrice, je vois dans le microcosme trifluvien un environnement exceptionnel pour former les étudiants à l’enseignement des sciences humaines (nommé « Univers social », par le ministère de l’Éducation) et les sensibiliser à leur futur rôle de « passeur culturel ». Cependant, si l’exploitation du patrimoine urbain paraît une voie prometteuse par le rallye et la situation d’apprentissage que j’ai conçus, je constate néanmoins dans les entretiens réalisés avec des étudiants des difficultés notables à recourir aux concepts explicatifs des réalités sociales pour caractériser les réalités historiques et géographiques. Or, l’exercice même du rôle de passeur culturel, que l’on reconnaît aux enseignants, n’en dépend-il pas ? En donnant un aperçu du potentiel que représente le patrimoine urbain pour la formation à l’enseignement, j’exposerai aussi les défis rencontrés dans la formation et les stratégies mises en place pour y faire face.

10h00 > 10h30 Pause
10h30 > 11h30 Cornélia Strickler
  • Présentation 10 : Enseigner l’histoire de l’Holocauste avec le numérique : Parcours interactifs sur le site Récits de vie sur l’Holocauste
    A-1760 – Résumé

Sujet sensible et complexe, l’Holocauste n’est pas toujours facile à expliquer et à comprendre. L'utilisation d’histoires personnelles – au travers de témoignages oraux de survivants notamment – permet de le rendre plus accessible. Malheureusement, le nombre de témoins directs diminuent. Afin de palier ce problème, de nombreux musées ont désormais recourt au numérique, non seulement pour archiver et conserver les témoignages des survivants de leur communauté, mais également pour leur offrir une seconde vie. C’est dans ce cadre que le Musée de l’Holocauste Montréal a développé, en partenariat avec différentes institutions canadiennes, le site web http://recitsdevieholocauste.ca/. Les visiteurs sont invités à découvrir l’histoire/les histoires de l’Holocauste à travers les parcours interactifs de survivants et d’une Juste parmi les Nations. Ressource pédagogique, ce site fournit également aux enseignants canadiens du primaire et du secondaire des outils qui facilitent l’apprentissage de l’histoire et le développement d’une pensée historienne.

11h30 > 12h30 René Binette
  • Présentation 11 : Célébrons le patrimoine avec l’Écomusée : les 100 ans de l’École Garneau
    A-1760 – Résumé

Comme l’a écrit Hugues de Varine (ancien directeur de l’ICOM) : « Un écomusée, c’est d’abord une communauté et un objectif : le développement de cette communauté. » Dans cette perspective, l’Écomusée du fier monde s’appuie sur des partenaires locaux pour proposer des activités en divers lieux du quartier Centre-Sud de Montréal mettant en valeur le patrimoine local. C’est le cas de ce projet qui marquait le 100e anniversaire de l’école Garneau. Il a permis d’offrir des activités éducatives aux jeunes et de présenter une exposition commémorant le centenaire, le tout dans un cadre festif. Notre présentation reviendra rapidement sur la définition d’un écomusée, puis permettra de décrire brièvement l’Écomusée du fier monde et le cadre dans lequel s’inscrit le projet. Nous ferons la description des différentes étapes du projet et des résultats obtenus.

12h30 > 13h00 Repas
13h00 > 14h00 Elizabeth-Ann Doyle
  • Présentation éclair 2
    A-1760 – Résumé

MU base sa philosophie et sa méthodologie autour de deux axes d’intervention complémentaires et interreliés 1er axe | démocratisation de l’art • Susciter une expérience esthétique dans l’espace public; • Soutenir les artistes; • Soutenir l’art comme vecteur de transformation; 2e axe | Développement local • Poser un geste de beauté qui entraine la revitalisation de secteurs (sentiment de sécurité, d’appartenance, de fierté et embellissement); • Occuper l’espace public et son milieu de vie; • Impliquer la communauté immédiate et plus spécifiquement les jeunes Il est souvent dit que : l’art est le reflet de l’âme, la culture est l’âme d’un peuple. Pour MU, l’art mural permet de toucher le cœur des gens et initie un changement de perception, de regard sur notre milieu de vie et ultimement sur notre rôle en tant que citoyens d’une cité. Les murales nous apparaissent comme porteuses et garantes de sens et d’impact. C’est ce qu’on appelle la citoyenneté culturelle basée sur la force et la richesse des arts qui agissent comme lien et langage commun entre nous tous et nous redonnent un sentiment de dignité et de reconnaissance/le regard de l’autre. Le cas des HLM Habitations Jeanne-Mance sera donné en exemple.

14h00 > 16h30 Labo 4
  • Diffusion des cartes
    A-1890 – Résumé

Nous reviendrons sur les applications en ligne afin de maîtriser les concepts de diffusion des données et des cartes. Des données du corpus à l’étude seront mises à profit afin de préparer une application permettant d’explorer un volet des commémorations antérieures de la fondation de Montréal. Ce laboratoire mettra l’accent sur l’importation des couches vectorielles et des données, sur la jointure, sur la symbologie et sur l’habillage des cartes.

17h30 > 18h30 Déplacement
18h30 > 20h30 Activité culturelle

Vendredi 18 août 2017 - Partageons

Objectifs de la journée

Après plusieurs journées très chargées, le vendredi sera l’occasion de réfléchir aux acquis de la semaine afin de de finaliser les affiches et les applications SIG. Nous reviendrons sur le parcours Cité Mémoire lors de la présentation d’un historien associé au projet. Tout sera donc prêt pour le mini-colloque du lendemain.

 09h00 > 10h00  Déjeuner et séminaire de réflexion sur les projets
  • A-1760
10h00 > 12h00 Travail libre
  • A-1890
12h00 > 13h00 Repas
13h00 > 14h00 Martin Landry
  • Présentation éclair 3
    A-1760 – Résumé

Librement inspiré de l’histoire de Montréal, le projet Cité Mémoire propose une rencontre d’une multitude de personnages témoins de l’évolution de la ville à travers le temps. Plus de vingt tableaux se déploient en images, en paroles et en musique, animés d’un souffle tantôt ludique, tantôt poétique. D’un bout à l’autre du Vieux-Montréal, l’œuvre émerge à même les murs qui nous entourent, le sol que nous foulons, les arbres qui bercent notre présent. Pour réaliser le parcours Cité Mémoire,nous avons créé une l’appli gratuite (Montréal en Histoires) et des centaines de contenus. La bande-son et les contextes historiques sont disponibles en 4 langues. CITÉ MÉMOIRE est le plus grand circuit de vidéo projection au monde.

14h00 > 16h30 Travail libre
  • A-1890

Samedi 19 août 2017 - Partageons

Objectifs de la journée

Le colloque de fin d’école est conçu comme une période de partage des réflexions menées par chacune des participantes et chacun des participants de l’École d’été. Il témoigne de l’intégration des apprentissages réalisés et annonce leur exploitation dans un projet à venir. Le colloque est un moment d’échange et d’ouverture, une conclusion à cette semaine passée ensemble, un « au revoir » pour les participantes et participants ainsi que pour le comité d’organisation de cette dernière édition de l’École d’été Montréal numérique.

 10h00 > 12h30 Mini-colloque
  • D-R200
12h30 > 13h30 Repas
13h30 > 15h30 Mini-colloque
  • D-R200
15h30 > 16h00 Évaluation de l'enseignement
  • D-R200
16h00 > 17h30 Cocktail
  • D-R200